PATRIMOINE NORMAND

L’excellence de la gastronomie normande

Le Trophée des Léopards

De concours culinaire en marché normand, le Trophée des Léopards a fait de Caen la capitale de notre… Gourmandie.

Bon sang ne saurait mentir. Lauréat professionnel du Trophée des Léopards, Arthur Viel a pour parents Arnaud et Cécilia, qui font merveille en leur table étoilée d’Argentan. (© Jean-Luc Péchinot)

Bon sang ne saurait mentir. Lauréat professionnel du Trophée des Léopards, Arthur Viel a pour parents Arnaud et Cécilia, qui font merveille en leur table étoilée d’Argentan. (© Jean-Luc Péchinot)

Mis à jour le 31 octobre 2025 à 15:01 Par
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« C’était sous le hangar de la charreterie que la table était dressée. Il y avait dessus quatre aloyaux, six fricassées de poulets, du veau à la casserole, trois gigots, et au milieu, un joli cochon de lait flanqué de quatre andouilles à l’oseille (…). Et au dessert, une pièce montée fit pousser des cris. »

S’il est un écrivain qui met la Normandie à la bouche, c’est bien lui. Le grand Gustave. Flaubert ! Né à Rouen en 1821, l’auteur de Madame Bovary n’aura cessé de célébrer la cuisine de son terroir. Gourmand d’huîtres, dont il s’était régalé enfant à Trouville, il fut un grand amateur de l’andouille de Vire et du poulet d’Auge, un plat emblématique qui ne lésine ni sur le beurre ni sur la crème et qu’il décrit merveilleusement bien dans Un Cœur simple.

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